Ce n’est pas le changement qui fait peur. C’est la perte de repères. Et votre cerveau a une très bonne raison pour ça ↓ En accompagnement, j’entends souvent : 👉 "Je sais que je dois changer, mais je n’y arrive pas." 👉 "J’ai l’impression de saboter moi-même mes avancées." 👉 "Pourquoi ça coince, alors que je suis motivé ?" Spoiler : ce n’est pas un manque de volonté. C’est le cerveau qui fait son travail. 🔍 Il existe 3 formes de résistance au changement. Et les identifier, c’est déjà reprendre le pouvoir : 1. Neurologique — Le cerveau aime les automatismes Le changement active l’incertitude. Or, notre cerveau déteste le flou. Il privilégie les habitudes, même contre-productives, car elles sont… prévisibles. ➡️ Besoin : sécurité, lisibilité, cadre. 2. Émotionnelle — Le changement ravive des peurs Peur de l’échec, de décevoir, d’être jugé. Ou parfois… peur de réussir. ➡️ Besoin : reconnaissance, soutien émotionnel, permission d’y aller petit à petit. 3. Sociale — Le changement perturbe les appartenances Changer, c’est parfois s’éloigner de son groupe d’origine, bousculer des rôles implicites. ➡️ Besoin : se sentir légitime à évoluer sans trahir les liens. 💡 Une transformation réussie, ce n’est pas un sprint. C’est un processus conscient, où on sécurise le cerveau, on apaise le cœur, et on clarifie les relations. 👉 C’est exactement ce que j’aide mes clients à faire dans mes accompagnements : décoder les résistances, pour agir avec clarté, courage et cohérence. 💬 Et vous ? Quel type de résistance avez-vous déjà identifié chez vous ou dans vos équipes ? Prêt à challenger vos certitudes ? Créneaux limitées ce mois-ci →[taap.it/5pvlj9] Partagez vos retours : ils peuvent éclairer d’autres professionnels en mouvement. ♻️ Ce post peut aider d’autres à comprendre ce qui se joue en eux. N’hésitez pas à republier. ➕ Suivez-moi (Esteban Martinez-Querol) pour d’autres clés stratégiques et déclics puissants observés sur le terrain en tant que Sparring partner chez PRAESTA FRANCE.